5 Bonnes raisons de déployer l’apprentissage entre pairs

Le monde de la formation est en crise — certains formateurs sont mis au chômage partiel — au moment même où nous avons le plus besoin de la formation, pour tirer des enseignement de la crise et préparer la période après-confinement.

En 1990, Peter Senge, professeur au MIT et spécialiste en management professait :

« Le rythme auquel les organisations apprennent pourrait devenir la seule source durable d’avantages concurrentiels dans un monde en perpétuel changement. »

Le département learning est l’avantage concurrentiel des entreprises.

Pour y arriver, il n’est pas question de faire un plan de formation, ni de produire des contenus par soi-même trop lourds et longs et encore moins d’organiser des formations présentielles, les pédagogies utilisées doivent être plus souples et agiles.

L’apprentissage entre pairs, une solution à la crise

L’avantage de cette pédagogie est d’être déployable immédiatement et ce, avec des résultats rapides pour les raisons suivantes :

• Absence d’intermédiaire, partage et génération de contenus directement à la source par les pairs eux-mêmes, estimé 8 fois moins cher que la formation et délivrance possible en moins de 1 semaine, soit 10 fois plus rapide à déployer que la formation
• Appropriation de contenu : la place du partage de ses enseignements est aussi important que la consommation de contenu dans l’apprentissage (+70% de rétention après des échanges entre pairs)
• Apprendre ensemble, éviter de perdre du temps à réinventer la roue dans son coin (partager les bonnes pratiques, c’est économiser 1200€/mois/employés d’après le Society for Human Resources) et développer les compétences d’apprentissage collectif et de co-construction
• Valoriser chaque expérience, facteur de motivation et d’engagement (Selon Gallup, 78% des employés sont motivés par la reconnaissance de leur travail)
• Développer des relations saines, durables et bienveillantes (Plusieurs études, et notamment les recherches d’une équipe de Carnegie-Mellon et du MIT, ont démontré que le QI d’un groupe dépendait de la qualité des relations et des connexions entre ses membres)

Les facilitateurs, les acteurs de la pédagogie

L’apprentissage entre pairs est opéré par des facilitateurs•trices qui :

• Guident la maïeutique collective (= le questionnement en groupe)
• Rappellent la finalité et l’enchainement des étapes de la méthodologie
• Garantissent le rythme des échanges (= gestion du temps)
• Assurent la qualité des échanges et des contenus des groupes
• Maitrisent l’outil d’apprentissage entre pairs

Les 5 bonnes raisons de former vos équipes :

Nous avons besoin de digitals•learnings managers pour mettre en oeuvre des pédagogies indispensables à la performance et à la qualité du métier.

1. Pour tirer des enseignements et réinventer les modèles après la crise. Cette pratique est utilisée depuis des années par les compagnies aériennes, l’un des systèmes d’apprentissage mondiaux les plus efficaces que nous ayons à cet égard.
2. Pour valider les acquis d’une manière participative
3. Pour préserver préserver le lien social pour garder la motivation des salariés, le télétravail va s’accélérer (Cf PSA adopte le télétravail pour ses 80000 salariés), animer les communautés apprenantes à distance va devenir une priorité
4. Encourager le peer learning, c’est considérer chaque collaborateur comme source de connaissances et jouer un rôle de valorisation par la même occasion (Source : Partager ses connaissances, top skills 2030, future skills employment 2030 Pearson)

Découvrir la formation proposée par WAP

WAP a développé une méthodologie en 5 étapes pour permettre à des communautés d’identifier, de partager et co-construire les savoirs entre pairs.

La méthodologie et la plateforme ont été éprouvés après 165 ateliers, 3 ans de R&D* pour garantir une qualité de contenu optimale qui donne satisfaction aux 20 grandes écoles et entreprises qui l’utilise et aux plus de 10000 participants. (En moyenne, 4.7/5 des participants jugent la session très utile pour eux).

*We Are Peers a travaillé pendant deux ans avec des centaines de groupes, de professeurs, chercheurs en pédagogie, neurosciences, design thinking, psychologie positive et intelligence collective, dont : David Kelley, fondateur de D. School Stanford (États-Unis) ; Jean-Pol Martin, créateur de la méthode Lernen duch Lehren (Allemagne) ; Claire Héber-Suffrin, cofondatrice des Réseaux d’échanges réciproques de savoirs (France) ; Charlotte Riedberger, docteure en philosophie et psychologie positive ; Imfusio, experts en intelligence collective
(France), Pasi Silander, département de l’éducation à Helsinki (Finlande)

www.wearepeers.com