Dylan Schreier, CTO dans l’âme, rejoint Wirate !

Jessica Balès
Wirate
Published in
3 min readDec 8, 2020
Dylan Schreier dans les bureaux de Wirate à Paris

AM : Comment en es-tu arrivé à intégrer Wirate ?

DS : Je code depuis que j’ai 13 ans, c’est une vraie passion. J’ai grandi avec un clavier dans les mains, en commençant par de tous petits projets pour mon entourage, jusqu’à devenir lead developer ou responsable technique pour mes clients sur des projets beaucoup plus complexes (SOSH, Infogreffe, etc.).

Quand Patrick Cantelli m’a proposé de devenir CTO chez Wirate, j’ai d’abord cru à une blague. Je n’imaginai pas du tout pouvoir intégrer à mon âge ni à ce niveau de responsabilités un projet aussi ambitieux. Ce n’est pas le risque entrepreneurial qui m’effrayait, je suis freelance depuis mes 18 ans, alors je connais bien, mais devoir intégrer une équipe déjà installée, dont la plupart des membres sont largement seniors, pouvait avoir quelque chose d’impressionnant.

Et puis j’ai passé notre évaluation Witeam pour voir si mon profil matcherait bien avec le reste de l’équipe et on a pu constater que oui. Et ça s’est vérifié dans la pratique. C’est assez génial de travailler chez Wirate, il y a beaucoup d’expérience qui s’exprime, on apprend beaucoup. On peut être une vraie force de proposition et les décisions sont collectives.

AM : Qu’est-ce qui t’as séduit dans Wirate ?

DS : Ce qui m’a de suite plu dans Wirate, ce sont le concepts d’intelligence collective et de multiplication des points de vue sur une entreprise. Proposer des indicateurs qui sont autant d’outils d’aide à la décision est particulièrement séduisant. On a une vraie ambition d’aider les entrepreneurs et l’écosystème qui les finance et qui les accompagne. L’objectif, c’est la réussite de leurs projets. Pouvoir vérifier le potentiel d’une idée, la maturité d’un projet pour trouver des investisseurs ou la capacité d’une équipe à exécuter son projet aide vraiment à savoir où en est son projet et offre la possibilité de l’améliorer pour affronter les phases critiques de son développement.

Et bien sûr Wirate est en train de décoller. Son potentiel est énorme. C’est très excitant de pouvoir participer à cette aventure aujourd’hui. C’est un vrai défi opérationnel, mais aussi intellectuel vu les sujets que l’on aborde dans nos évaluations : je suis obligé de comprendre un univers complètement nouveau pour moi pour pouvoir implémenter nos évaluations ou celles de nos partenaires le plus efficacement possible !

AM : Comment appréhendes-tu les défis techniques qui t’attendent ?

DS : Techniquement, la plateforme Wirate est déjà très bien développée. Ça va nous permettre de développer sereinement de nouvelles fonctionnalités, de nouveaux services et surtout de nouvelles évaluations : c’est un chantier qui ne sera jamais terminé ! Je salue donc notre équipe technique qui est super compétente.

Finalement, ce que j’apporte à Wirate, c’est surtout une méthodologie éprouvée pour aborder nos futurs chantiers : APIsation des services, implanter du Data Mining et du Deep Learning, nouvelles évaluations plus ou moins profondes et complexes. C’est super, parce que ça va nous obliger à être très efficaces et inventifs à la fois ! Sans oublier un nouveau point de vue, ce qui, après tout, fait partie de notre ADN !

--

--