Comment faire autrement, vu mes origines : côté paternel, mon grand père était Roumain. Ma grand mère de la minorité hongroise de Slovaquie. Mon père, né à Bratislava, était Slovaque. Il est devenu Français en 1968. Sa fille, ma demi-sœur, est d’ailleurs née Slovaque mais est désormais Américaine. Côté maternel, ma maman est née à Florence (Italie), d’un papa Toscan et d’une maman Alsacienne. Et à huit ans, elle est venue, avec ses parents et sœurs, vivre à Strasbourg, ville qui a été alternativement française et allemande. Quant à moi, je suis marié avec une franco-congolaise.
Pour parfaire le tableau familial, mes cousins sont un Italien marié avec une Vietnamienne, vivants en Hollande, une Italienne ayant eu un enfant avec un descendant de Japonais et vivants à Hawaï, une Française vivant en Italie avec un Italien et ayant deux enfants trilingues et, enfin, une Française ayant vécu très longtemps en Colombie, passée au Cambodge et se situant désormais à Tijuana (Mexique). Les deux dernières ont grandi en partie à Bruxelles, ville où j’ai aussi habité (mais une fois adulte). …
La réponse la plus simple à cette question est : faites appel à moi ! Car inventer, développer ou repositionner, organiser ou réorganiser, sauver des entreprises constitue la colonne vertébrale de mon parcours professionnel, initié il y a 29 ans. Pour réussir ce qui s’apparente parfois à de véritables challenges, j’allie un sens des affaires à un leadership affirmé, à une vision du marché pointue et à une forte dose d’intuition. Jugez-en dans les lignes qui suivent.
Missions pour :
Je réalise un benchmark et aide à créer un business model en vue du lancement d’un service de location de véhicule utilitaire vert. Mon client et moi-même identifions et convainquons un partenaire industriel pour le projet. …
En naviguant sur le web, je suis tombé sur cette image inspirante :
Vous le savez, après avoir été entrepreneur à de multiples reprises, désormais, je conseille notamment ceux qui veulent le devenir (1). Et ils ont souvent la même question :
dois-je parler de mon projet ou le garder pour moi ?
Je leur réponds donc, régulièrement, d’en parler autour d’eux, et le plus largement possible. Presque à chaque fois, ils objectent : “mais je vais me faire piquer mon idée”. Je leur dis alors que, de toute façon, leur idée, 30 autres l’ont en même temps. Et que la réussite vient de celui ou celle qui porte l’idée, pas de l’idée elle-même. Car les idées sont le produit de l’air du temps. Par contre, en parler permet de tester l’idée, de voir comment les autres y réagissent, de l’amender et la faire progresser. …
Voilà. J’ai 46 ans. Et je me demande depuis un peu plus d’un an ce que je vais faire dans la vie. Comme tous les quatre à cinq ans, en somme. J’ai envie de changement, d’aller explorer des contrées inédites tout en cultivant ce que je commence à identifier que je sais bien faire (développer ou réformer des entreprises, en résumant en cinq mots).
Reste à trouver le nouveau challenge qui me donnera envie de me lever le matin. Et donc j’ai commencé à parler de mon envie autour de moi. Et la même question m’a été opposée plusieurs fois : “mais tu cherches quoi ?”. …
Dans un billet intitulé “Nouvelle cartographie : des échecs au jeu de go ?, le passionnant François Bellanger propose un parallèle entre ces deux jeux et les entreprises conquérantes que sont Uber, Blablacar ou encore Airbnb. Mais la comparaison vaut-elle vraiment ? C’est ce que discute Peter Bu, mon père, émérite pratiquant de ces deux jeux.
“La comparaison de divers acteurs publics et privés comme la Sncf, la Ratp, Uber, Blablacar aux échecs et au go est intéressante de plusieurs points de vue, mais pas nécessairement pertinente par rapport à ces deux jeux stratégiques.
L’article affirme : « (…) le jeu de go, c’est Uber, Blablacar … ». Dans un certain sens, cela pourrait l’être si les initiateurs de ces modes d’entrepreneuriat visent à rompre les monopoles de la Sncf, de la Ratp, des taxis, en utilisant d’innombrables acteurs anonymes pou s’accaparer de ces marchés et les dominer. Mais même si c’était leur but, la ressemblance avec le jeu de go ne serait que superficielle : l’éparpillement des efforts dans les marges, avant de prendre le centre. …
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[archive de 2013]
Breaking news surprenante lue dans le 20 minutes de ce vendredi 21 juin 2013 : Ikea annonce, en exclusivité, se mettre à l’écomobilité. Comme tous les deux ans… Pour Pierre Villeneuve, directeur de l’expérience clients de l’enseigne suédoise, c’est une manière d’attirer les Parisiens, de moins en moins motorisés. « On sait que 21% des habitants de Paris intra muros ne viennent pas dans les magasins Ikea car 70% d’entre eux n’ont pas de véhicule », explique-t-il.
Évidemment, vu le modèle économique de la grande surface du meuble en kit, c’est embêtant. En effet, son essence même consiste à poser les espaces de vente bien loin de la ville, là où le terrain n’est pas cher et où on peut mettre un grand parking. Puis le commerçant attend que les clients viennent en voiture, fassent leurs courses seuls (peu de charges de main d’œuvre) puis montent leurs meubles tout seuls (pas de charges de main d’œuvre et de frais de livraisons). …
[archive de 2013]
Je crains qu’en France, personne ne soit capable de calculer les charges réelles de chacun des statuts qui existent pour entreprendre. Ni les implications en terme de couverture sociale, médicale, retraite, etc. Et donc, personne ne doit être réellement capable de conseiller sans se tromper un porteur de projet sur le statut qu’il doit prendre, en fonction de son activité à venir, de son statut passé, de ses besoins en matière sociale, etc.. Sans parler des changements de règles perpétuels, que tous nos gouvernements adorent faire, et qui empêchent de se projeter à plus de six mois sans prendre un risque financier. …
[archive]
Depuis quelques années, la Chine est le nouvel eldorado des entreprises occidentales. Marché en pleine croissance (ce mot qui fait tant rêver les grands patrons et les hommes politiques…), liberté d’entreprendre (le terme “communiste” ne s’appliquant quasiment plus qu’au champ politique), pas de syndicats et de négociations collectives, et surtout salaires très bas et main d’œuvre très nombreuse.
Eh bien, tout cela semble aller vers sa fin. Le 28 juillet 2008, Adidas, numéro deux mondial des équipements sportifs, a annoncé que la production de ses chaussures “va reculer” dans ce pays, alors qu’elle représente alors la moitié de sa production mondiale. Herbert Hainer, le patron de la marque aux trois bandes, envisage de délocaliser sa production en Inde, au Laos, au Cambodge, au Vietnam et d’en rapatrier une partie en Europe de l’Est ou dans l’ex-URSS, car les salaires fixés par les gouvernements chinois “sont progressivement trop élevés”. …
[archive de 2013]
Récemment, j’ai décidé de devenir bénévole pour l’association 100.000 entrepreneurs. L’objet m’a conquis : donner aux jeunes l’envie d’entreprendre, en organisant des témoignages d’entrepreneurs bénévoles (chefs d’entreprise, responsables associatifs, porteurs de projet au sein d’un groupe ou de la fonction publique) dans les classes de collèges, de lycées et de l’enseignement supérieur.
De mon côté, j’ai demandé à intervenir essentiellement en Seine Saint Denis. Une manière pour moi de m’inscrire dans mon territoire de résidence, et de tenter d’apporter à mon échelle une petite aide, un coup de pouce, à des jeunes issus de quartiers pas toujours favorisés, et qui auraient donc moins accès à l’information, à des témoignages, à des coups de pouce. …
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