Arrêtons de vendre

Humanise
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2 min readMar 16, 2018

Article de Simon Cazelais, associé et président de Bleublancrouge Montréal tiré de BBR Commuter.

La relation entre un acheteur de véhicule neuf ou usagé et son concessionnaire automobile a longtemps été caractérisée par un manque de confiance. Soyons honnêtes : encore aujourd’hui, on ne prête pas de bonnes intentions aux « vendeurs de chars ». En vérité, ces vendeurs de chars appréhendent de plus en plus leurs rencontres avec les clients, qui arrivent constamment mieux informés, et qui sont plus outillés que jamais pour prendre le contrôle de la discussion et de la transaction.

« Consumers increasingly rely on digital, and especially mobile, to help with their car buying journey — to research, find deals, and get real-time auto advice. For example, 1 in 3 adults in the U.S. watches auto content on YouTube once per month.1 Today, these digital interactions influence shoppers’ decisions as much as (and potentially even more than) the salesperson on-the-lot. »
Think with Google

Les avancées technologiques, qui auraient pu simplifier le processus et rapprocher l’acheteur et le vendeur, ont plutôt creusé l’écart entre les deux parties. Même les vendeurs d’expérience vous le diront : c’est de plus en plus difficile de conclure une vente.

Pourquoi donc?

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