Expériences hors du corps et voyage astral
Même France 2 s'y met !
Comprenez que notre monde évolue de manière accélérée vers une vision principalement mentale et spirituelle de lui-même. C’est pas de bol, pour une civilisation foncièrement matérialiste qui ne croit que en ce qu’elle voit! Mais, si nous cernons bien ce qu’il se passe, l’Univers nous envoie un message important : “Le monde est bien plus magique que ce que vous n’auriez jamais pu imaginer, même dans vos délires les plus fous ! Alors allez-y, essayez, puis constatez par vous-même”.
En somme, c’est la fin des croyances aveugles en des hypothèses et théories farfelues ou infondées. C’est l’ère du partage de la connaissance et de l’expérience personnelle qui commence. L’astrologie ancestrale a un nom pour cette ère, prédite depuis la nuit des temps : l’ère du Verseau.
Ce nouveau monde nous offre la possibilité d’expérimenter par nous-mêmes. Plus besoin de laisser la science “aux experts”. Nous avons désormais les outils personnels pour valider, invalider et compléter les hypothèses ou autres théories scientifiques qui doivent, elles aussi, être urgemment mises-à-jour.
Fini les arguments d'autorité !
Tel est le pouvoir des expériences hors du corps, aussi appelées — bien que plus précis — “voyage astral”.
D’autres outils comme le spiritisme, le yoga ou la méditation par exemple sont également disponibles. La combinaison de ces pratiques, couplée à Internet et YouTube, est une bombe atomique pour la connaissance personnelle. Voir les livres référencées à la fin du billet.
Définition de “argument d’autorité”
Consiste à invoquer une autorité lors d’une argumentation, en accordant de la valeur à un propos en fonction de son origine plutôt que de son contenu. Ce moyen rhétorique diffère de l’emploi de la raison ou de la violence.
Bienvenue dans l’ère de l’empirisme personnel généralisé
Ce que vient révolutionner le voyage astral sont les a priori du courant scientifique dominant actuel. En effet, les scientifiques, mais en réalité, tous les humains, ne peuvent plus se permettre de ne prendre en compte QUE la matière “solide” perçue par nos organes sensoriels.
Les sciences qui tentent de comprendre la composition des 95% restants de l’univers, (et donc de la majorité de l’univers, disons-le concrètement) utilisent des dénominations remplies de mystères comme matière noire, ou encore énergie noire. Elles reflètent bien l’idée que les sciences matérialistes ignorent ce qu’elles sont. Pourtant, elles les connaissaient bien jadis il fût un temps, sous les noms d’éther et de magnétisme animal respectivement (l'ancêtre de l’hypnose ; à noter que le magnétisme est bien plus complet, alors que l’hypnose n'est qu'une version matérialiste, et donc diminuée du magnétisme).
Pourquoi je vous parle de ça ? En quoi l’éther est-il lié au voyage astral ? Et bien, il va falloir continuer la lecture pour comprendre !
Interlude : le prix Nobel de physique 2019
En Octobre 2019, James Peeble a reçu le prix Nobel pour ses découvertes théoriques en cosmologie physique. Le lauréat a fourni des mesures de haute précision des micro-ondes en provenance du rayonnement cosmologique, dont l’origine remonte au fameux Big Bang.
Voici un passage intéressant de ce que Peeble a répondu lorsqu’il a été interrogé par les journalistes :
“La matière noire est la constante cosmologique d’Einstein. C’est tellement ironique qu’Einstein soit celui qui l’ait introduite dans ses équations, puis soudainement décidé de l’en supprimer….et maintenant, NOUS LA REMETTONS !” [cette citation se termine vers la minute 16:00 de la vidéo ci-dessus].
Lors d’une conférence en 1928 peu connue du grand public [Physique sur l’espace absolu (éther, akasha) et ses propriétés comme médium éternel et continu d’ondes infinies], Einstein constate l’une des ses plus grandes erreurs (voir la section nommée Congrès de Solvay plus bas pour plus de détails à ce sujet très important) :
“Selon la théorie générale de la relativité, l’espace sans éther est impensable, car dans un tel espace, non seulement il n’y aurait pas de propagation de la lumière, mais aussi aucune possibilité d’existence pour les normes spatiales.”
Le prix Nobel 2019 remet donc, selon le savant lui-même, nécessairement la notion d’éther dans l’équation ~ sans mauvais jeu de mots ;) !
Comprenons que cela change TOUT.
Le matérialisme commence à prendre un fort goût amer, et sent l’erreur capitale à plein nez…ce courant scientifique est nuisiblement incomplet !
La science matérialiste et l’hallucination des sorties de corps
Stimulating illusory own-body perceptions
Voici un article paru en 2002 dans la prestigieuse revue scientifique Nature, qui explique que la portion du cerveau concernée par les sorties hors du corps a été localisée [The part of the brain that can induce out-of-body experiences has been located.], et que sa stimulation donne lieu à des illusions. En somme, à des hallucinations.
L’arrogance (et/ou la manipulation) est d’autant plus flagrante ici, comme ça l’est pour les expériences de mort imminente, la télépathie, la précognition, l’intuition, l'autoguérison, etc, pour lesquels il existe tellement de témoignages scrupuleusement recoupés et étudiés d’une part, ainsi que plus de 150 ans de données scientifiques en provenance des résultats d’expériences en parapsychologie — peer-reviewed (définition un peu plus bas) évidemment, d’autres part !
Les scientifiques matérialistes, ceux pour qui la composition de l’univers est restreinte aux 5 % que représente la matière — le reste étant inutile puisque mystérieux — ne cessent de vouloir expliquer ces anomalies factuelles et récurrentes de tout temps, en jouant la carte de l’hallucination ou du charlatanisme…quelle maladive ignorance…encore faudrait-il pouvoir expliquer “les hallucinations collectives et en groupe”, desquelles surgissent des informations vérifiables. Et puis, certes il y a de nombreux charlatans et autres prestidigitateurs dans le domaine, mais cela ne prouve en rien que TOUS le sont. Cela prouve seulement que nous avons crée un système dans lequel la majorité des gens sont prêts à se prostituer pour de l'argent, c'est tout ce que cela prouve !
Le scepticisme ouvert, sain et curieux de savoir : oui !
Le scepticisme fermé et plein d'arguments d'autorité : y en a marre !
Définition du terme “peer-reviewed”
Signifie évalué par les pairs ; fait référence à des expériences scientifiques menées en laboratoire ou dans un espace contrôlé, reproduites par de nombreuses équipes scientifiques independantes les une des autres, et dont les résultats obtenus sont consistants entre eux.
Il existe une telle capacité parmi les sceptiques à balayer une hypothèse insensée à leurs yeux par une autre qui ne l'est pas moins, sans se préoccuper du fait qu’elle soit tout aussi folle pour d’autres, que cela en devient au minimum suspect d’être de la mauvaise foi!
Notons par contre que seules les opinions matérialistes sont médiatisées auprès du grand public, et non pas les différents courants de pensée qui existent concernant la parapsychologie ou les phénomènes dits "paranormaux" ou inexpliqués.
Il faudrait donc que chaque humain ait l'idée de faire la démarche par lui-même d'aller se renseigner, alors que le “système” s'est bien chargé de lui enlever toute possibilité d'en prendre le temps. Cela fait froid dans le dos ! On voit que l'évolution est encore bien délibérément freinée…
Cependant, il faut comprendre et se mettre à leur place : quelle claque monumentale pour un matérialiste de constater que le monde puisse être esprit d’abord, et matière ensuite — car c’est ce que conclue n’importe quel voyageur de l’astral qui en a donc fait l'expérience personnelle…
“Quelle hérésie que l’invisible soit le moule du visible… c’est de la religion, et nous, nous sommes des scientifiques ! “ Non coco ! Ça, c’est avant tout une notion empruntée à la spiritualité, née bien avant l’invention de la religion par certains hommes pour tous ceux qui veulent bien les croire sur parole.
Mais…une fois ces notions correctement appréhendées, intégrées au savoir et à la pratique personnelle, le voyageur expérimental connait la liberté, la vraie, celle de pouvoir s’échapper quelques instants de sa prison charnelle.
Pour y parvenir, il faut d’abord être en mesure de croire sans voir. Telle est la voie de la connoissance ! Et ça mon ami, ça s’appelle de la foi, et ça, ça te gêne aussi.
Je comprends, mais cela te serait-il utile de savoir que la foi non plus ne prend pas ses origines dans la religion mais dans la spiritualité primordiale ?
Différences entre religion et spiritualité
La spiritualité est innée, naturelle ; la religion, gênante et artificielle. La religion cannibalise la relation à Dieu ; la spiritualité, elle, rend cette relation au Tout en tant qu’outils de développement personnel direct, sans dogme, sans églises et sans grands manitous qui pètent dans la soie. Les religions ont chacune leur bible ; la spiritualité n’en a pas qu’une, mais des milliers, elle en a autant que de livres écrits par des gens ordinaires comme vous et moi, mais qui savent de quoi ils parlent, puisqu'ils en ont fait l'expérience personnellement.
L’information n’est pas la connaissance. La seule source de connaissance est l’expérience. Il faut de l’expérience pour acquérir de la sagesse.
— Albert Einstein
La spiritualité documentée nous provenant de l’antiquité — de Sumer à Rome jusqu’au IVe siècle de notre ère, est régie par 7 principes — voir la section Kybalion ci-dessous, ou bien n’importe quel livre de développement personnel car il est typiquement très bien adapté aux vies régies par le matérialisme.
Ces livres sont les héritiers de ce savoir longtemps maintenu secret par certaines fraternités de notre ère qui n'ont pas eu d’autre choix que de le cacher pendant de longs siècles afin de le préserver, et pour que tu puisses en jouir aujourd’hui.
Le Kybalion
Transmutation mentale : La transmutation mentale (décrite aussi comme « alchimie mentale », « art de la chimie mentale », ou « art de la polarisation ») fait référence à un art de changer et transformer ses propres états et conditions mentales, dans le but de les améliorer. La pierre philosophale n’en serait qu’une allégorie mal comprise. On appelle aussi cela la « psychologie mystique » qui engloberait aussi ce que nous appelons les « arts psychiques » (comprendre télépathie, télékinésie, intuition, sortie hors du corps, autoguérison, etc.).
Les sept principes hermétiques
La foi
La foi ici n’a encore rien à voir avec le terme associé à la religion. La foi ici va au-delà de croire sans voir : c’est l’art de savoir sans voir. Elle est à la base de la loi universelle de l’attraction (principe de vibration dans le Kybalion, voir ci-dessus). Cette loi est connue des doctrines les plus anciennes aujourd’hui considérées comme du New Age par la majorité des gens actuellement incarnés sur cette [bonne] vieille planète.
La spiritualité n’est pas un truc de Bisounours les amis, c’est là où je veux en venir. C’est un catalyseur de savoir. Et en alchimie (notion de transmutation mentale dans le Kybalion, aussi appelée le langage des oiseaux), qui dit savoir, dit Connaissance — ou co-naissance, soit l’émergence d’une société cofondée par des individus éveillés à tous ces principes largement oubliés de nos jours.
On peut faire usage du Yoga pour régler des problèmes corporelles, des douleurs, des souffrances mentales même, ce qui est en soit déjà un usage utile mais limité par la vision matérialiste. Selon une vision spirituelle, nous pouvons, avec la pratique régulière et disciplinée, utiliser le Yoga comme moyen d’atteindre l’éveil et l’obtention des Siddhi (terme connu en Indes), les fameux “supers pouvoirs”.
On peut pratiquer le bouddhisme pour se donner bonne conscience, mais cela est encore limité par la notion de matérialisme. Selon une vision spirituelle, on peut pratiquer la méditation et obtenir les iddhi (terme au Tibet cette fois), les pouvoirs psychiques supranormaux.
Voir les travaux de l’anthropologue Alexandra David-Neel — notamment Mystiques et magiciens du Tibet, qui a vécu pendant plus d'une décennie parmi les autochtones du Tibet, mais aussi des pays voisins auparavant, le plus notable étant pour ce qui nous concerne ici, l'Inde. Elle lisait couramment le sanskrit et avait appris tous les dialectes au Tibet auxquels elle avait été exposée. Une femme passionnante, une espèce de Corine Sombrun du XVIII/XIXe siècle (Sombrun est auteure et chamane, Parisienne ; voir bande annonce du film biographique sortie en cette année 2019).
Bref, seuls les matérialistes mal informés que nous sommes verraient dans les capacités latentes et inhérentes au fonctionnement de l’Univers et a l’interaction de ses composants (intuition, précognition, télépathie, autoguérison, etc), comme de vulgaires inventions par des gens qui prendraient leur désirs un peu trop pour des réalités.
Définition des Siddhi
Siddhi (devanāgarī: सिद्धि) est un terme sanskrit qui signifie « accomplissement », « perfection » ou encore « succès », en tibétain ngödrup (tibétain : དངོས་གྲུབ, Wylie : dngos grub). Dans le yoga, celui-ci désigne un pouvoir surnaturel.
Traditionnellement, la littérature yogique indienne mentionne que le yogi ou le siddha obtiendrait des siddhi soit par concentration et contemplation, ou soit spontanément à mesure que la Kuṇḍalinī, en montant le long de la colonne vertébrale, activerait certains chakra. On recense ainsi 35 siddhi.
Pour approfondir ce sujet, je suggère ce livre de Dean Radin Superpouvoirs ? Science et Yoga : enquête sur les facultés extraordinaires de l’homme, chercheur à l’Institut des Sciences Noétiques (fondé par l’astronaute Edgar Mitchell lorsqu’il est revenu de la Lune en 1971 — mission Apollo 14) !
Interlude : un documentaire sur le voyage astral
Cette vidéo peut s’écouter comme un podcast en allant au boulot par exemple car rien dans son contenu est crucial visuellement. Akhena est l’un des intervenants principaux. Elle est tout simplement La référence en matière de sorties de corps, dans le monde francophone. Beaucoup de témoignages positifs sur l’efficacité de ses méthodes sont à constater, depuis 25 ans…
A propos de la Science
Parlons, dans le désordre, des problèmes de la recherche scientifique, de son financement, et de pourquoi notre science dite “matérialiste” n’est plus adaptée à faire évoluer la connaissance humaine.
Au sujet du matérialisme
Notre science, majoritairement maquée avec le complexe militaro-industriel (comprenez sources de financements), se concentre sur 5% de matière perceptible par nos sens organiques. Voilà, de manière simple, pourquoi elle se nomme science matérialiste.
Cette science inclut le concept qu’en dehors de ce que perçoivent nos sens, il n’existe rien. Seuls des chercheurs à la frontière de la science osent s’aventurer au-delà de la matière, mais cela est souvent de la physique expérimentale comme la mécanique quantiques, la théorie des champs ou des cordes, etc, connaissances totalement incomprises mais parfaitement appliquées, ayant donné naissance à toute forme de technologie sans fils.
Ce qui est gênant est que, selon la science matérialiste — courant de pensée le plus répandu aux yeux du public — l’espace est vide, à tel point que Espace est littéralement devenu synonyme de Vide.
Ce qui est d’autant plus gênant, c’est que l’autre branche de la physique, elle non-matérialiste, utilise des ondes invisibles qui se baladent dans l’espace, capables de transmettre de l’information, et le tout, dans un milieu vide s’il vous plaît…
Voilà le dilemme autour de l’éther. De quoi est fait ce vide ? Personne n’en sait rien, même les non-matérialistes l'ignorent ! Cela les a-t-il empêché pour autant de développer la technologie des “boîtes noires” qui font notre quotidien ? Bien sûr que non !
Définition de ce que j’entends par la technologie des “boîtes noires”
Technologie dont la connaissance est détenue par un nombre très restreint d’experts sur la planète. Technologie qui souvent se matérialise par des boîtiers bien cachottiers — les ouvrir ne permettrait même pas de comprendre leur fonctionnement. Fait aussi référence au sens figuré de l’expression qui signifie que on ne sait pas vraiment ce qui se trouve dans la boîte, mais le commun des mortels ne désire pas le savoir. A cela servent justement les experts ! Enfin voyons, c'est évident ;)
Mais ce n’est pas tout, notre précieuse science matérialiste présente un deuxième concept devenu problématique à cause de la médecine moderne, et notamment dans les services d'urgence : avant la naissance, ainsi qu'après la mort, il n’existe rien. Et pourtant, nombreuses sont les recherches qui mènent à conclure que nous survivons à la mort (voir les travaux du Dr. Ian Stevenson concernant les 3 000 cas recensés de réincarnation), nombreuses sont les personnes rapportant des EMI [Expériences de Mort Imminente] (voir les travaux du Dr. Raymond Moody), témoignant d'expériences en tous points similaires.
Ces voyageurs de l’astral involontaires ne croient pas en leur survie après la mort : ils le savent.
Comment ? Ils ont pu constater qu’ils pouvaient toujours percevoir, à savoir, voir, entendre, toucher et penser, tout en étant capables de voir leur propre corps inerte, allongé sur la table d’opération ou dans une scène d'accident.
Maintenant bien démocratisées, les techniques de sorties volontaires hors du corps, permettent aussi de constater à tout un chacun que l’expérience est réelle.
Le corps est tel un briquet jetable, et le gaz qui s’en échappe, l’esprit, l’âme, est éthérique, une forme subtile de la matière si nous sommes matérialistes, ou plus exactement, si nous sommes non-matérialistes, une forme plus dense de l’éther, mais qui l’est moins que la matière.
Les concepts et les problématiques du matérialisme nous font baigner, en tant que civilisation, dans un monde profondément et inutilement mystérieux, sombre, et par conséquent violent. Et si nous laissons leur influence agir sur nos concepts personnels, nous nous retrouvons dans une situation de blocage, de stagnation, ne permettant plus l’évolution individuelle, et donc forcément non plus celle de l'espèce humaine toute entière !
“Mais, ne vous affolez pas, nos chers savants, munis de leur fabuleuse curiosité et méthode, vont nous sauver de ce carcan !”
Voilà ce que nous faisons en laissant le savoir ultime entre les mains d’un nombre restreint de “grands sachants” que sont les soit-disant experts : nous mettons TOUT entre leurs mains et sur leur dos, pas étonnants que certains en abusent.
Or, à cause du matérialisme tant répandu, cela ne serait être pour demain, ce fameux sauvetage. Cela va prendre du temps les amis, voire jamais, surtout quand les concepts fondamentaux sont erronés, mal interprétés, et plus qu’incomplets. Et je crois que, étant donné la pression du changement climatique, le temps joue contre nous…
Notre science de l’étude de la matière, puisqu’il n’existe que cela, est cantonnée à une bande si étroite — voir Spectre visible dans l’image ci-dessous — du champs électromagnétique, qu’elle en devient absurde.
[On nous a aussi fait le coup avec l’ADN qui contiendrait 95% d’ADN “poubelle” — voir la sous-section Watson et Crick de la section Matériels de support plus bas. En réalité, cet ADN incompris contient la description et l’activation potentielle de toutes nos facultés occultées et latentes que seule la maîtrise du mentale "à la Bouddhiste" peut activer ou désactiver.]
Attribution de fonds, et considérations monétaires
Depuis 2 siècles, les sources de financement pour la recherche scientifique sont la principale cause de l’expansion du matérialisme.
C’est l’Inquisition 2.0.
En effet, selon les détenteurs de capitaux, il n’y a pas de raison de financer des recherches si celles-ci n’aboutissent pas assurément sur une application militaire ou massivement commerciale.
Aussi, lorsque ce thème est approfondi par des recherches personnelles, le chercheur de vérité [comme moi et tant d’autres], sont désolés de constater que les scientifiques issus des universités classiques, désireux d’étudier scientifiquement des sujets dont les applications immédiates ne sont pas claires ou inexistantes, rencontrent d’énormes difficultés à trouver des fonds.
Par ailleurs, ceux qui expriment la volonté d’étudier des thèmes comme le paranormal ou la parapsychologie, vivent une véritable chasse aux sorcières des temps modernes, toujours de nos jours ! Ils risquent la raillerie de leurs collègues, mais surtout leur carrière. Si le chercheur a une famille ou des personnes à charge, il est automatiquement OUT car il ne peut se permettre de perdre ses revenus ni de se faire blacklister dans son domaine de compétences.
Le problème vient aussi des mots chargés d’histoire employés par ceux qui désirent étudier ces thèmes, car en soit, comme les technologies de communication sans fils, étudier le paranormal revient à étudier les fréquences au-delà du spectre visible pour commencer à en comprendre le fonctionnement. Vous comprenez l’expression l’au-delà maintenant, je l’espère. Ce n’est pas juste un terme religieux dépourvu de sens…
Lorsqu'il se passe un truc, une interaction invisible, il faut aller "voir" parmi les fréquences invisibles !
Tout dans l’Univers est franchement souvent littéral !
Autre absurdité de notre science. Toutes les branches de la science, la physique de Newton et de la relativité d’Einstein, la biologie, la chimie, etc, se concentrent sur la matière, les atomes, les molécules, les composés, etc, mais il faut vraiment remettre les choses en perspective et les pendules à l’heure :
- Ai-je vraiment besoin de savoir comme fonctionne une montre pour l’utiliser ?
- Dois-je savoir comment mon corps fait pour respirer sans mon intervention consciente afin de ne pas mourir asphyxié ?
- Les chinois de l’antiquité ont-ils attendu de comprendre comment fonctionnait toute cette énergie (Qi) présente dans l’éther avant d’en faire usage (par exemple, l’acupuncture) pour le plus grand bien de la santé publique toute entière ?
- Dois-je vraiment attendre de comprendre comment le voyage astral fonctionne avant d'en faire l’expérience ?
- Ne serait-il pas plus judicieux et utile de comprendre à quoi servent les sorties hors du corps, plutôt que de chercher à comprendre comment elles fonctionnent d’un point de vue scientifique ?
Plus le temps avance, et plus je perçois que nos sciences sont de véritables voies de garage, rendant la majorité de l'activité humaine, vaine…
Les solutions aux problèmes que rencontrent nos scientifiques motivés par la quête du savoir, sont soit de :
- s’auto-financer (pour ceux qui le peuvent),
- trouver un institut indépendant pour en devenir le salarié ou consultant préféré (mais il en existe peu, et les places sont par conséquent extrêmement limitées).
En dernier, il reste les Professeurs émérites qui, depuis leurs places “indétrônables” au sein de leurs universités respectives, ont le droit de mener des recherches sur n’importe quel sujet, “sans trembler” pour leur stabilité professionnelle. Mais là encore, les places sont encore plus limitées.
Le milieu universitaire scientifique ne constitue donc en aucun cas, un environnement favorable au développement du savoir humain. Point barre.
On a le droit de se demander si nous sommes face à une science qui peut vraiment exercer pleinement le pouvoir de sa libre expression…
La méthode scientifique est-elle vraiment en mesure de permettre le débat nécessaire pour faire avancer ses hypothèses et autres théories dans le but de faire évoluer l’humanité ?
Comme nous allons le constater dans la section Considérations sur la méthode scientifique dans les conclusions ci-dessous, il devient clair que la réponse est malheureusement NON.
Conclusions
Suite à mon exploration sur le déroulement de la recherche scientifique, je constate que le scientifique, tout comme l’agriculteur, se développe dans un environnement très péniblement et injustement réglementé, qui favorise la productivité et le capitalisme, peu importe les conséquences sur la santé morale et physique du grand public et donc, des écosystèmes de notre planète.
Avant, je croyais que l’agriculteur était un paysan amoureux de la nature, soucieux d’apporter aux consommateurs les meilleurs produits. Malheureusement, le système qui l’enveloppe le corrompt, et finit par tous nous rendre malades par les angoisses que cette situation engendre.
Tel qu’il existe bien une différence entre un paysan et un agriculteur, il existe bien différents types de scientifiques qu’il serait sage de savoir distinguer:
- ceux qui sont en quête de savoir, qui travaillent pour le bien et le progrès de l’humanité, sans exclusions, sans partis pris
- ceux qui sont en quête de pouvoir et d’argent, qui travaillent pour l’establishment, conscients ou non de lui avoir vendu leur âme, eux-mêmes victimes de ceux qui eux, savent vraiment et qui les exploitent de diverses façons. La séparation des tâches, tout comme le design modulaire d'ailleurs, permettent de tromper les scientifiques qui au final, ne peuvent imaginer un seul instant, les applications qui proviendront de leurs travaux.
“La science consiste à examiner les choses sans a priori, les étudier avec un esprit ouvert. Une attitude qui est à l’opposé de celle du scientiste.“
“Le scientiste est quelqu’un qui ne cherche pas à comprendre. Il estime qu’il y a déjà une explication à tout. Ainsi, pour lui, un médium par exemple est forcément fou ou un charlatan, voire les deux.”
Considérations sur la méthode scientifique
La méthode scientifique elle, a été utile jusqu’ici, mais est désormais le plus grand frein, un verrou au développement de l’humanité. En effet, elle est d’une part toute aussi pervertie que l’attribution elle-même des fonds aux projets de recherches, puisque peu d’hypothèses passent au statut de théorie par le biais du peer-review (définition disponible plus haut), ce qui est pourtant le fondement de la méthode scientifique. À la fois lente et compliquée à mettre en place, la méthode scientifique est :
- biaisée par le chercheur qui veut rendre des comptes favorables à ses investisseurs pour que l'argent continu de couler,
- abusée par le faux sceptique,
- corrompue (involontairement soit) par le sceptique matérialiste sincère,
- non-applicable par le manque de fonds des autres équipes indépendantes qui aimeraient faire un peer-review
- non-applicable encore car peu nombreux sont les chercheurs qui désirent passer en deuxième (sous-entendu que seul le chercheur chargé de l'équipe de recherche initiale ne prendrait le crédit des trouvailles).
D'autres part, les expériences de mort imminente, la télépathie, la télékinésie, la précognition, l’intuition, l’autoguérison, etc ne surgissent que rarement à la demande. Cela rend encore une fois la méthode scientifique totalement inadaptée pour étudier ces “anomalies” en laboratoire ou dans un environnement dit contrôlé. Pourtant, il existe bien des scientifiques en quête de savoir ayant publié d’innombrables résultats de recherches peer-reviewed, démontrant statistiquement l’existence de ces phénomènes (j’ai écrit plusieurs billet à ce sujet récemment ; le Dr. Dean Radin en est une éminence grise, consultez sa bibliographie ainsi que ses nombreuses vidéo sur YouTube).
Nous ne pouvons plus nous permettre d’orienter des recherches qui concernent le destin de l’humanité entre les mains de ceux qui distribuent les fonds sur des bases d’intérêts privés ou parce que certains se réservent le droit à certaines connaissances.
Dernier aparté
Quel est le point commun entre :
- la C.I.A.,
- l’Institut Monroe (60 ans de recherches sur les sorties hors du corps),
- le Dr. Ian Stevenson (recherches sur la réincarnation),
- le leaders des avancées les plus récentes en informatique quantique,
- ET — le plus important — le deuxième prénom de ma tante paternelle ?
Virginie !
A part ma tante, et trêve de plaisanterie, ils sont tous installés dans l’état de la Virginie, U>S>A !!!!!
Trois lois de Clarke
L’auteur (l'un des pères) de science-fiction et physicien Arthur C. Clarke, inventeur du satellite artificiel, a formulé les trois lois suivantes :
I) « Quand un savant reconnu mais vieillissant estime que quelque chose est possible, il a presque certainement raison ; mais lorsqu’il déclare que quelque chose est impossible, il a très probablement tort. »
II) « La seule façon de découvrir les limites du possible, c’est de s’aventurer un peu au-delà, dans l’impossible. »
III) « Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. »
Gregory Benford a par la suite énoncé la contraposée de la Troisième Loi de Clarke : « N’importe quelle technologie discernable de la magie est insuffisamment avancée. »
Karl Schroeder a lui aussi proposé un corollaire : « Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la nature. »
Important : matériels de support
The Monroe Institute
L’Institut Monroe est un organisme qui a étroitement collaboré avec l’armée américaine et la C.I.A. lors de plusieurs projets dont l'un nommé Star Gate [pendant la guerre froide et donc contre les soviétiques], afin de développer une technique nommée “Remote Viewing” [Vision à distance] qui est un protocole scientifique encadrant la sortie hors du corps, canalisant l’intuition et la précognition.
Autant dire que les sceptiques vont pouvoir se ronger les ongles. Vous trouverez ci-dessous, des billets que j’ai publié sur ce blog en cette année 2019, où vous pourrez en savoir davantage si vous êtes curieux. Attention, votre réalité risque de voler en éclats.
La pensée unique
La standardisation des concepts n’est en fait qu’un moyen puissant de contrôle sur les masses, une nécessité pour ceux qui recherche le pouvoir.
On nous a déjà fait le coup au IVe siècle après J.C. lors du concile de Nicée par l’empereur Constantinople qui n’a gardé que 4 évangiles, les autres ayant été cachés ou détruits. Ces derniers qui, notamment parlaient de la vraie spiritualité comme celle que je viens de décrire dans ce billet, de part leur disparition, ont donné naissance au dogme du Christianisme, puis évidemment à l’Inquisition, qui elle-même donna lieu à une chasse aux sorcière légale de près de 14 siècles, dans le seul but d’éradiquer ce savoir parmi les masses et dans le temps.
Si la véritable pratique spirituelle arrive jusqu’à nous aujourd'hui, il faudra en remercier certaines sociétés secrètes et autres fraternités disséminées dans le monde, qui se sont données la tâche de gardiens du savoir. C’est pour ça que l’establishment lance les chiens contre elles, puisque pour beaucoup dans notre société de dormeurs, les Francs-Maçons, les Illuminatis et compagnie, sont responsables de toutes les misères de notre ère. Ceux qui pointent du doigts ces organismes souvent discrets sont, soit ceux qui tombent dans le panneau de Diviser pour mieux régner, soit ceux qui en sont les instigateurs.
Voilà tout ce que mes recherches — tout comme mon expérience personnelle, et je suis loin d’être le seul — m’ont permis de constater.
Voici un superbe documentaire sur les évangiles “perdus” pour découvrir leur contenu. Attention, ça décoiffe sérieusement !
L'ADN par Watson et Crick
Quand les 2 chercheurs Watson et Crick on découvert dans les années 50 la structure hélicoïdale de l’ADN, ils ont décrété que 95% de celui-ci était inutile et l’ont appelé “ADN poubelle”, littéralement ! Ce n'est pas un blague !
On s’attendrait de la part du monde scientifique conventionnel, surtout lorsque une découverte a un impact aussi profond sur le règne du vivant dans son ensemble, qu’il se prononce avec un peu d’humilité, mais de l’arrogance extrême est ce que nous trouvons à sa place.
Plutôt que d'affirmer qu'il ne sait pas, il est beaucoup trop courant de nos jours qu'un scientifique dont les travaux sont des plus importants pour l'humanité, se laisse berner par son propre ego en le laissant prendre le dessus…
Et ça, c'est INACCEPTABLE ! Les conséquences sont graves.
Par exemple, dans le cas de l'ADN cité ici, ces travaux ont eu pour conséquence le Central dogma of molecular biology [Théorie fondamentale de la biologie moléculaire], ce qui a eu pour conséquence que la majorité des humains matérialistes sont aujourd'hui persuadés d'être obligatoirement victime de leur patrimoine génétique. Or, la science de l'épigénétique, les recherches sur la méditation et le jeûne viennent nous prouver le contraire ! Même un système immunitaire génétiquement déficient peut être réglé par le pouvoir de l'esprit sur le corps. Je m'explique à ce sujet dans ces billets : Bye Bye Cancer ou Le pouvoir de puiser consciemment dans le système immunitaire est officiel. Les manuels de médecine aux USA ont été mis-à-jour.
Congrès de Solvay
Lors du congrès de Solvay de 1927, de part son immense influence médiatiquement instrumentalisée à l’époque, Einstein nous enfonce définitivement dans la voie du matérialisme, en s’inscrivant dans le camps des matérialistes et donc contre le camps de la physique quantique.
Pourtant, il est flagrant qu’il est lui-même initié aux doctrines spirituelles, mystiques, occultistes, ésotériques et par conséquent quantique, puisque cette branche de la science en est l'héritière la plus moderne.
Comment puis-je avancer qu’Einstein soit allé à l’encontre de ce qu’il savait être une vérité universelle cachée depuis 15 siècles, moi qui ne suis personne ? Les indices sont nombreux, en voici quelques-uns :
- Il n’y a qu’à observer certaines de ses citations:
L’information n’est pas la connaissance. La seule source de connaissance est l’expérience. Il faut de l’expérience pour acquérir de la sagesse.
— Albert Einstein
« L’esprit intuitif est un don sacré et l’esprit rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don. »
— Albert Einstein
Un être humain est une partie de l’ensemble appelé par nous “univers”, une partie limitée dans le temps et l’espace. Il fait l’expérience de lui-même, de ses pensées et de ses sentiments comme quelque chose de séparé du reste, une sorte d’illusion d’optique de sa conscience.
— Albert Einstein. Lettre datant de 1950 ; citation par le New York Times, le 29 mars 1972.
2. Le livre Mental Radio de Upton Sinclair, a été préfacé par Einstein. La préface est disponible sur la page du livre d’amazon. [Cliquez sur ‘Look Inside’ (au-dessus de la couverture du livre), puis tournez les pages jusqu’à la préface pour lire ce qu'Einstein avait à dire sur son ami Sinclair et des travaux de télépathie qu’il y expose.]
3. Enfin, il suffit d’observer le nom de la conférence en 1928, inconnue du grand public, où Einstein “change d’avis” concernant l’éther, donc un an seulement après le congrès de Solvay :
Physique sur l’espace absolu (éther, akasha) et ses propriétés comme médium éternel et continu d’ondes infinies.
Les mots clés sont akasha, éternel, et infini…C’est là où toutes les doctrines ancestrales se rejoignent : ces fameux 95% invisibles dans l’univers sont infinis et éternels, et forment l’akasha, un terme emprunté au Théosophisme. Les annales akashiques, également appelées archives akashiques, chroniques akashiques ou encore mémoire akashique sont un concept ésotérique créé en Occident par des théosophes à la fin du XIXe siècle, à partir d’éléments de la philosophie indienne, popularisé par des ouvrages de Lobsang Rampa, et également dans les pays francophones par ceux de Daniel Meurois et Anne Givaudan. Ce serait une sorte de mémoire cosmique, de nature éthérique, qui, telle une pellicule sensible, enregistrerait les événements du monde.
Une chronologie importante à connaître
IVe siècle après notre ami J.C.
L’empire romain cherche à homogénéiser les croyances parmi tant de peuples, et entre autre, fait sauter l’existence du monde invisible, et s’ensuit 14 siècles de chasse à la sorcière pour anéantir toute activité personnelle en lien avec l’invisible. Ainsi, la spiritualité, une pratique non-dogmatique qui promeut la relation direct à l’expérience de l’invisible, se transforme en religion, où l’église se réserve le droit d’interpréter les miracles, et sectionne notre lien personnel et direct avec ces derniers, pour finalement se les approprier.
XIXe siècle
Un dénommé Rivail, plus connu sous le nom d’Allan Kardec — voir bande annonce du film biographique sortie en cette année 2019— publie Le livre des esprits. Ce livre est le second livre le plus lu au monde après la bible. Ce livre permet de découvrir le christianisme 2.0 (ou plutôt celui d'origine, c'est-à-dire le chamanisme) nommée doctrine spirite. Cette dernière inclut le monde de l’invisible comme part intégrale de la vie quotidienne.
Tout cela est né des fameuses tables tournantes et autres milliers de séances de spiritisme documentées à la même époque un peu partout dans le monde, pendant lesquelles les médiums des différents pays ont reçu les mêmes messages. Kardec en a fait le recueil dans ce livre et d’autres qui ont suivi. Voir la section des livres à recommander.
XXe siècle
- La physique quantique a de profondes répercussions sur notre compréhension de la nature de notre univers et de notre rôle en tant qu’observateurs/acteurs conscients/créateurs, mais en 1927, le matérialisme porte un coup mortel aux courants de pensées alternatifs
- Nous découvrons en 1945 les manuscrits de la mer morte, les fameux évangiles éliminés par l’empire romain au IVe siècle, qui parlent du monde invisible et de son imprégnation sur notre monde visible qui n’en est en réalité qu’une infime partie… En particulier, l’un de ces évangiles prône une relation directe avec le Divin, sans besoin d’intermédiaires : nous pouvons lui poser des questions car il est accessible à tous naturellement. Nous sommes naturellement équipés pour l’interroger.
Épilogue
Ce qu'il faut retenir :
- l’univers n’est pas ce qu’on croit
- la mort n’est pas ce qu’on croit
- l’âme, l'esprit survit à la mort, seul le corps physique, l'enveloppe charnelle périt
- suite à la mort s’ensuit une naissance de cette même âme par la réincarnation, ou une évolution vers des dimensions supérieures plus éthérées, plus subtiles (des fréquences plus haut du spectre électromagnétique invisibles aux yeux des matérialistes)
- entre 2 incarnations, il existe une entre-deux vies qui est un espace qu’il nous est maintenant donné d’explorer avec la plus magistrale des intentions conscientes, et ce bien avant la disparition de notre propre enveloppe charnelle
Quelle bonne nouvelle que de comprendre que nous sommes ici dans un but d’évolution permanente, que nous survivons à la mort, que nous y retrouvons nos être chers, que nous sommes pris par la main par des êtres plus évolués que nous, que lors des sorties hors du corps, nous nous déplaçons à la vitesse de la pensée (d’où l’utilité du bouddhisme Dzogchen pour savoir maîtriser un esprit qui, lorsque dévêtu de son enveloppe "solide", agit sur la matière subtile en une fraction de seconde).
Ce monde de matière que nous appelons "réalité" est délibérément ralenti afin que les jeunes âmes que nous sommes et qui y sont incarnées, aient le temps de saisir les relations de causes à effets de nos pensées et de nos états d'esprits sur notre environnement…
Partager des biens matériels, c’est les diviser.
Partager le savoir, c’est le multiplier !
Autres vidéos pour approfondir
A lire aussi
Livres à recommander
Sorties de corps et Voyage astral
Spiritisme
Note : les livres de Kardec mentionnées ci-dessus sont disponibles gratuitement sur Kardecpedia.com