A partir d’ici.
Je ne regarde pas le journal à la télévision. J’ai déjà déterminé depuis un certains temps que la peur que diffuse nos médias au quotidien n’est pas bonne pour mon état d’esprit, alors je m’en dispense. Mais même en étant sur mon île, les réseaux sociaux remontent ces images horribles de réfugiées.