J'ai testé : La PandoraStar — une profonde expérience mystique

Mon premier voyage astral

Hugo C.
Auto Thérapeute
8 min readApr 2, 2019

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Avez-vous déjà songé à ce que vous trouveriez à l’intérieur de la fameuse boîte de Pandore s’il vous arrivait de la trouver ? Rien qu’avec le programme de démo de 10 « petites » minutes de la lampe PandoraStar (luminothérapie), j’ai pu vivre un merveilleux échantillon de projection astrale. Tenter de décrire ce voyage avec des mots semble dérisoire et pourtant, il en vaut la peine d’essayer !

La lampe de luminothérapie “PandoraStar”

Le voyage astral

Tout d’abord, j’ai eu le sentiment de parcourir les zones les plus retirées et enfouies de mon subconscient, chaque recoin se faisant nettoyer en profondeur ; libre à nouveau d’exister.

Mon « champs visuel » était intensément rempli de couleurs, et je faisais parti d’un Tout. Ce Tout était constitué d’une mosaïque de couleurs parmi les plus pures et vibrantes que je n’ai jamais eu l’occasion de « voir » ici dans ce que nous appelons la réalité.

Et pourtant, mes yeux étaient bel et bien fermés...

Une image trouvée “par hasard” qui ressemble étrangement à ce que j’ai vécu il y a 2 soirs, bien que les couleurs étaient bien plus vives et nettement plus vibrantes

Une mosaïque en perpétuel mouvement

Je baignais dans une mosaïque en mouvement permanent. Il me semblait qu'elle était le tissu même de l’Univers; elle tournait sur elle-même comme pour signifier, par une métaphore visuelle, à quel point l’Univers est dynamique et que, absolument tout ce qui s’y trouve, tourne forcément sur lui-même ET autour de quelque chose qui l’attire inlassablement.

Entre chaque tourbillon de couleur, et d’une fraction de seconde à l’autre, je me retrouvais littéralement transporté d’un endroit à un autre. Des endroits dont j’avais manifestement oublié l’existence et qui me semblaient en même temps, intimement familiers.

La notion d’endroit se confondait avec celle de l’émotion. Étaient-ce des lieux ? Des émotions ? Je n’en sais rien. L’impression était simultanément graphique et émotionnelle : un peu comme si les informations en provenance de tous mes sens fusionnaient pour ne donner plus qu’un flux unique. Ce dernier était perçu comme par un seul et même sens, mais lequel ? Celui-là m’était tout-à-fait inconnu jusqu'ici…Tout ce que je peux dire est que la sensation de « réalité » était supérieure à celle de ce que nous appelons normalement la réalité.

La vitesse était si vertigineuse, les transportations si intenses, que mon rythme cardiaque s’est vivement accéléré, et pourtant j’étais allongé et immobile. A noter que je pouvais clairement fonctionner et être conscient en même temps de l’expérience sensorielle de mon corps (la sensation de mon corps allongé au contact du sol), et de ce que je vivais dans la mosaïque — sorte de bilocation de conscience — bien que je ne pense pas avoir été aux manettes des déplacements. C’était plus comme un tour guidé.

Les 2 phases principales du voyage

J’ai pu distinguer deux phases clairement distinctes : une phase de déplacement, et une phase d’observation.

Les phases de déplacement dépassaient la vitesse de la lumière puisque je me retrouvait instantanément devant une partie ou une autre d’un bras ou d’un autre de la spirale ; bien qu’une sensation d’accélération se faisait sentir au début de chaque nouveau déplacement.

Les phases d’observation, pendant lesquelles je me retrouvais immobilisé, en lévitation, hors de l’espace-temps, et en extase, offrant une vision en première loge de la beauté, de la profondeur, et du poids de l’animation graphique qui évoluait en direct devant « moi ». Au fond, qu’étais-je à ce moment-là ?

Puis, ces phases n’ont cessé de se substituer à la précédente. J'avais perdu la notion du temps ; une envie d’encore…

On pourrait vraiment décrire ces deuxièmes phases de l’expérience comme les images que l’on a pu voir dans certains films, tels que les percevrait un chamane à travers les yeux d’un aigle dont il aurait pris possession, avec une sorte de halo semi opaque restreignant le champs de vision à un cercle, permettant de mieux focaliser sur les images que cette « télé de l’esprit » a bien voulu me transmettre.

Le lien entre tout : le fractale

Je crois avoir compris le message qui m’a été livré : nous faisons parti d’un Tout. Un Tout parmi une infinité d’autres Tout, tous imbriqués les uns dans les autres. Cette relation fractale entre les différents Univers ne se découvre qu’en changeant de dimension, et donc de niveau de conscience. Cela a voir avec ce que certains appellent le taux vibratoire.

Tel que nous le montre la suite de Fibonacci, chaque élément est intrinsèquement la somme de tous ceux qui le précédent, dessinant ainsi la spirale d’un Tout organique, qui s’entremêle, et qui se confond dans un tourbillon infini, que cela soit vers l’infiniment grand, ou même l’infiniment petit.

Il est donc impossible d’en séparer un seul morceau. La notion d’orphelin n’existerait pas au sein de la structure universelle, et donc nulle part. L’incarnation en donnerait l’illusion, mais pour quelle raison, je l’ignore…certains disent que nous l’aurions choisie, avant notre incarnation, afin de se mettre à l’épreuve, mais surtout afin de monter en conscience.

Le grand et le petit ne peuvent se comprendre que de manière relative, et donc par rapport à l’échelle — taille, échelle, dimension : sont-elles les mêmes dans ce contexte précis ? — dans laquelle on se trouve mêlé à cette spirale vivante. Je soupçonne que cela est lié au niveau de conscience, au taux vibratoire atteint par chacun ; en termes sanskrits, le niveau d’éveil d’un être se mesure à la position du chakra actif sur l’échelle de la Kundalini. Selon où se situe ce niveau individuel et subjectif de conscience, se trouve le début du chemin vers la transcendance, le Nirvana.

C’est maintenant une certitude pour moi : l’Univers est bien plus immense encore (et je ne parle pas de sa dimension spatio-temporelle) que celui que nos perceptions sensorielles ou technologiques actuelles ne permettent d’apprécier…

Le but de mon incarnation

J’ai aussi eu la chance que cette expérience me redonne à connaître les raisons de mon existence : ouvrir mon cœur et servir de vortex de transformation, afin d’impacter positivement autant de personnes que possible. Voilà à quoi sert mon passage ici ! Alors comment ? Et bien en les guidant vers la porte d’entrée qui les mènera à intégrer davantage de spiritualité dans leur vie. La spiritualité est présente sous des milliers de formes ; prendre soin de soit comme l’on prendrait soin de son enfant (et vice versa d’ailleurs) en est une ; être plus dans l’instant présent (autant que possible), en est une autre ; développer son intuition aussi. Développer une conscience globale permettant d’appréhender la puissance individuelle, au profit du collectif, voilà ce qui est pour moi le but ultime.

Toutes ces “portes d’entrées” ont pour point commun l’alchimie que je définirais comme l’art de transmuter le plomb (un état d’esprit néfaste, une déprime, une colère) en or (le calme, la patience, la bienveillance, la sérénité).

C’est exactement à cela que sert le Yoga par exemple, qui signifie “Union” en sanskrit, ou la méditation, l’auto-hypnose ; en sommes, l’auto-thérapie, peu importe sa forme, en sera le véhicule, et permettra à celui qui la pratique, d’être enfin apaisé et en osmose avec l’environnement trop souvent hostile de nos jours.

Cette expérience m’a remit à l’esprit que la vie vaut la peine d’être vécue, que la vie après la vie vaut la peine d’être attendue, que la mort n’est qu’une illusion, un passage transitoire, une phase de transition, toute aussi éphémère que la vie, et que la vie sur Terre, plutôt que d’être la fin de quelque chose à l’issue de la mort, ne semble être qu’un terrain de jeu, un bac-à-sable permettant de se préparer, de s’entraîner. Pourquoi ? Je l’ignore…

Que se cache derrière tout cette matière apparente ?

Il semblerait que la quête de la vérité soit faite d’une spiral infinie de questions…

La vie sur Terre ne semble être effectivement que le début d’une aventure cosmique à plus grande échelle, bien plus grande que celle qu’un occidental dépourvu de spiritualité ne soit en mesure de concevoir normalement, c’est-à-dire sans la prise d’un psychotrope, et encore…

Attention aux bad trips

A noter que la puissance du voyage astral peut aller bien au delà des effets provoqués par n’importe quelle drogue dite hallucinogène.

Attention aux épilepsies

Il est intéressant de noter ici que dans les cultures ancestrales en Mongolie et en Sibérie, les personnes épileptiques sont destinées à devenir chamanes : c’est le signe principal qu’une personne, sous peine de graves problèmes de santé (et à terme, potentiellement la mort), a l’obligation de se trouver un(e) chamane afin d’y mettre fin. Et c’est ainsi qu’elle devient elle-même apprentie chamane, dans le but de maîtriser elle aussi l’art natural et inné du voyage astral, l’art divinatoire et symbolique de la guérison, et ceux pour le plus grand bien des futurs malades qui croiseront son chemin !

source : TEDxParisSalon 2012 — Corine Sombrun — La transe chamanique, capacité du cerveau ?

Donc, pourquoi et et à quoi ça sert [la transe chamanique], on n’en sait rien encore, mais ce dont on peut être certain c’est que ce que nous percevons du monde, ce que nous voyons, n’est pas le monde, mais vraiment un modèle du monde crée par notre cerveau.

—Corine Sombrun, TEDxParisSalon 2012

L’expérience de la réalité

Marc Auburn, qui s’est notamment formé à l’institue Monroe (en lien avec le projet militaire Stargate pendant la guerre froide) a développer la PandoraStar, et s’entretient avec Tistrya dans la vidéo ci-dessous, afin de vous faire découvrir son expérience de la réalité…

Si vous ne connaissez pas encore la chaîne YouTube Tistrya et que vous sentez l’éveil monter en vous, ou bien qu’il se passe des choses inexplicables en vous, vous êtes sur le point de débloquer la situation…L’ensemble de leur documentaire nous dévoile tout simplement l’existence et le potentiel de l’invisible, et ce, de manière accessible à tous.

Marc Auburn : L’expérience de la réalité

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Hugo C.
Auto Thérapeute

Quelle triste époque où il est plus facile de briser un atome qu’un préjugé ou une croyance. ― A. Einstein