10 contre-arguments en faveur des applications « guide de visite »
Vous avez du mal à convaincre votre entourage des avantages d’une application « guide de visite » ? La team smArtapps a listé les dix arguments les plus fréquents contre ces applications… ainsi que les réponses que vous pouvez leur apporter. 👍
L’argument : « J’ai peur que mes contenus soient rapidement anachroniques et obsolètes. »
Ce que vous pouvez répondre : Grâce à notre système de maintenance, bénéficiez d’un accès illimité à notre plateforme. Ainsi, vous pouvez mettre à jour vos contenus en temps réel. Les utilisateurs de votre application recevront automatiquement une notification pour effectuer sa mise à jour.
L’argument : « La technologie, ça tombe toujours en panne ! »
Ce que vous pouvez répondre : Dans le cas d’une application « guide de visite », ça risque d’être difficile ! Les visiteurs utilisent leurs propres smartphones et tablettes ; le musée n’a donc pas à investir dans un quelconque appareil électrique. La seule panne que vous pourriez avoir à déplorer serait que les téléphones de tous vos visiteurs tombent en panne en même temps — ce qui n’est pas près d’arriver. 😉
Cerise sur le gâteau : la maintenance — en plus d’offrir un accès illimité à la plateforme — assure que votre application fonctionne avec toutes les versions des différents systèmes d’exploitation (Apple et Android).
L’argument : « Il n’y a pas de Wi-Fi dans l’établissement. »
Ce que vous pouvez répondre : C’est un problème que l’on peut facilement contourner. D’abord, en incitant les visiteurs à télécharger l’application en amont de leur visite — par exemple sur les réseaux sociaux ou lors de l’achat d’un billet en ligne. Ensuite, les forfaits mobiles comprennent de plus en plus de Giga qui permettent de télécharger une application rapidement sans mettre en péril sa connexion internet pour le reste du mois. Enfin, en ce qui concerne les touristes étrangers, les opérateurs mobiles développent de nombreux partenariats qui permettent à leurs abonnés d’utiliser Internet partout dans le monde. C’est ce qu’on appelle les roaming data. Comme quoi, l’absence de Wi-Fi est loin d’être une fatalité. 👌
L’argument : « On n’a pas les moyens. »
Ce que vous pouvez répondre : L’application « guide de visite » n’est pas réservée aux grands musées et aux gros budgets. Chez smArtapps, nous proposons des applications à partir de 1 990 € HT et nous accompagnons des institutions de toute taille : le Louvre et la Tour Eiffel mais aussi le musée de la Toile de Jouy, la Ville de Creil, le musée de Préhistoire d’Île-de-France…
L’argument : « On n’a pas de personne formée au numérique pour s’occuper du projet. »
Ce que vous pouvez répondre : Nous faisons en sorte que notre plateforme soit la plus intuitive et facile d’utilisation possible ; nous l’améliorons sans cesse dans ce sens grâce aux retours de nos clients. Ainsi, nul besoin d’être « calé » en informatique pour réaliser son application « guide de visite ». Nous préconisons seulement un interlocuteur unique de part et d’autre afin de fluidifier la gestion du projet.
L’argument : « Nos visiteurs ne sont pas très portés sur le digital. »
Ce que vous pouvez répondre : En êtes-vous bien certains ? Plusieurs études ont montré que l’on accède de plus en plus aux informations via notre smartphone. Vos visiteurs ne font pas exception à la règle : ils aiment retrouver leurs usages numériques en allant au musée.
Vous estimez peut-être vos visiteurs trop âgés, pas assez à l’aise avec le digital pour qu’une application « guide de visite » corresponde à leurs besoins. C’est peut-être vrai aujourd’hui mais les visiteurs de demain, eux, ont bien intégré ces usages numériques et voudront les retrouver, y compris au musée. C’est à eux — pour leur plaire et les attirer — que s’adresse le guide de visite digital.
L’argument : « L’écran des smartphones va faire concurrence aux œuvres. »
Ce que vous pouvez répondre : On comprend cette inquiétude ; vous êtes nombreux à l’avoir eue. Pour vous répondre, nous laissons la parole à Paul Chaine, chef du service Développements numérique au château de Versailles. Il invite le personnel des musées et autres établissements culturels à faire confiance à leurs visiteurs, venus avant tout pour voir des œuvres et qui ont pris la peine de faire le déplacement jusqu’à elles. On ne saurait mieux dire.
L’argument : « Les gens ne vont plus venir s’ils peuvent découvrir le musée sur leur smartphone. »
Ce que vous pouvez répondre : Encore une fois, nous vous invitons à avoir confiance en vos visiteurs. L’application « guide de visite » n’a pas d’autre vocation que d’apporter des informations et de donner envie de découvrir les œuvres en vrai. D’ailleurs, un des éléments pour mesurer son retour sur investissement est… la hausse de fréquentation de l’établissement !
L’argument : « Aujourd’hui, les gens ne téléchargent plus d’application. »
Ce que vous pouvez répondre : C’est vrai, les places sont chères et les utilisateurs choisissent soigneusement les applications qu’ils conservent. En revanche, décrire l’ensemble des smartphones en circulation comme saturés et les visiteurs dans l’incapacité de télécharger la moindre application, c’est exagéré. Les applications « guides de visite » ne sont pas lourdes au point d’empêcher leur téléchargement — a fortiori en ce qui concerne les applications « temporaires », liées à des événements.
Il existe une alternative : la Progressive Web App (PWA). Pour savoir quelle solution vous conviendrait le mieux, nous vous conseillons notre article Application native VS Progressive Web App : que choisir ?
L’argument : « Je ne vois pas l’intérêt d’un guide de visite digital. »
Ce que vous pouvez répondre : L’argument qu’on attendait : préparez-vous à laisser votre interlocuteur bouche bée !
Récapitulons. Faire le choix d’une application « guide de visite » c’est :
- S’adapter aux usages des (nouveaux) publics,
- Impliquer davantage ses publics (jeux, réseaux sociaux intégrés…),
- Garder facilement ses contenus à jour (voir argument 1),
- Rendre ses contenus plus accessibles (multilingue, audio, LSF…),
- S’épargner des soucis de stockage et d’entretien (pas comme avec un audioguide…),
- Mieux connaître ses visiteurs grâce aux datas,
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