“Imagine ton métier en 2030” avec CNP Assurances ! (1/2)

Pixis
L'Orient Express
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14 min readJul 17, 2019

Le 5 juin 2019, l’équipe Pixis était réunie à Angers, dans les locaux de CNP Assurances, afin d’animer un atelier « Imagine ton métier en 2030 » avec les enfants des collaborateurs.

Cet atelier a été organisé dans le cadre de la « Journée de la famille ». Nous tenions à remercier chaleureusement CNP Assurances grâce à qui nous avons pu mener des discussions très enrichissantes avec les jeunes et leurs familles.

Dans une première partie de l’atelier nous avons échangé avec les jeunes sur les start-up, les métiers d’aujourd’hui et demain ainsi que sur les grands enjeux du 21ème siècle. Questions-réponses, mini-jeux et découvertes de cartes interactives, nous avons multiplié les supports afin de rendre ce moment ludique et instructif.

Ce fut ensuite aux participants de jouer ! Et d’imaginer collectivement (en choisissant deux métiers/rôles à présenter), les métiers/rôles qui existeraient en 2030 et répondraient aux 17 objectifs de développement durable.

Nous tenons tout d’abord à féliciter les jeunes pour leurs formidables créations que nous allons vous raconter désormais !

Le Conseiller migratoire :

La question des migrations, qu’elles soient économiques, climatiques ou liées à des conflits, reste à la pointe de l’actualité. Et les participants à nos ateliers en sont bien conscients. C’est pour cette raison qu’un groupe a souhaité inventer le métier de « Conseiller migratoire ». Son objectif : « accueillir les migrants et les aider pour leur vie future au sein du pays les accueillant ».

Si nous regardons dans les ateliers précédents, il ne fait pas de doute que nous pouvons lier ce métier aux inventions d’autres jeunes comme « HPPP », « Refugiste » ou le « C’est pas fixe ». Si ces métiers sont en apparences plutôt liés à la lutte contre la pauvreté, des enjeux communs peuvent être trouvés et des potentielles collaborations entre ces professions peuvent être imaginées.

Nos inventeurs de métiers ne sont d’ailleurs pas les seuls à considérer cette problématique comme porteuse. En effet, de nombreuses associations et start-up en France et dans toute l’Europe s’attachent à proposer des solutions. C’est le cas par exemple de CALM (« Comme À La Maison) qui développe une plateforme de mise en relation des réfugiés avec des personnes pouvant les héberger ou de Wings University une plateforme allemande qui propose des formations gratuites aux réfugiés dans toutes les disciplines pour les aider à s’intégrer plus facilement dans les territoires européens. Si nous retournons en France nous pouvons également citer l’exemple de La Fabrique de Singa qui accompagne depuis 2016 des entrepreneurs français et étrangers pour créer des solutions en faveur de l’intégration socio-économique et d’un meilleur accueil. Un dernier exemple ? Le programme « Combo » de MakeSense lancé en mars 2019 après avoir accompagné avec « Elan Interculturel » 54 personnes réfugiées et migrantes. L’objectif est de travailler sur la confiance en soi et le développement de compétences. Toutes ces solutions répondent finalement bien à la problématique soulevée par Inesse Benmohammed, responsable Singa Projets et incubateur : « Évidemment, les entrepreneurs réfugiés rencontrent des problématiques spécifiques de déclassement professionnel, d’isolement, de langue, de décalage socio-culturel et parfois même de logement. Mais ce n’est pas un incubateur pour réfugiés. Nous travaillons avec eux au service de la société d’accueil dans une démarche inclusive et collaborative. D’ailleurs beaucoup d’équipes sont mixtes, composées à la fois de Français et d’étrangers ».

Objectifs de développement durable concernés : “Pas de pauvreté” (1), “Santé et bien être” (3), “Éducation de qualité” (4), “Inégalités réduites” (10), “Villes et communautés durables” (11), “Paix, justice et institutions efficaces” (16).

Le ramasseur d’excréments d’éléphants (et d’animaux en général) :

Ces jeunes participants sont décidément bien informés ! En effet, la fabrication de papier, même s’il est de plus en plus recyclé, a un impact environnemental fort. On estime d’ailleurs que 20 millions d’arbres sont coupés chaque année pour faire du papier. Cela ne veut pas dire pour autant que nous devons arrêter d’acheter des livres par exemple. C’est pourquoi nos participants ont inventé le fabricant de papier à partir d’excréments d’éléphants.

Et ce n’est pas illusoire puisque depuis 1994, un entrepreneur kenyan, John Matano, développe une solution pour transformer les déjections d’éléphants en papier. Sa société Nampath Papere emploi aujourd’hui 42 personnes sur 17 sites dans tout le pays.

Le principe est simple : un éléphant consomme en moyenne 200 à 250kg de nourriture par jour et rejette 50kg de fumier, ce qui peut donner 115 feuilles de papier. Cela est rendu possible parce que l’éléphant ne digère pas la cellulose qui est dans les plantes. C’est cette matière qui est récupérée, bouillie, séchée et traitée comme pâte à papier classique.

Cela permet en plus de mieux protéger les éléphants qui ne sont plus chassés puisqu’ils offrent des ressources aux habitants et aux agriculteurs locaux.

Une initiative similaire existe en France, dans l’Aude, au Moulin des Brousses plus précisément. Les acteurs de ce lieu récupèrent en effet les excréments d’une réserve proche pour fabrique du papier. Nous retrouvons ce type d’initiative en Asie, au Sri Lanka, en Inde, etc. En Chine, ce sont même les déjections des Pandas qui sont utilisés avec le même processus !

Objectifs de développement durable concernés : “Industrie, innovation et infrastructures” (9), Consommation et production responsables” (12), “Vie terrestre” (15).

Les bâtiments du futur avec l’Archi-Durable et le MainBot :

Ce n’est plus un secret, les villes et les bâtiments sont générateurs de pollutions, de déchets et ont un fort impact carbone. Il est donc nécessaire de faire évoluer les pratiques des architectes. C’est là l’objectif de l’Archi-Durable.

Et nos jeunes ne sont pas les seules à vouloir agir ! Un concours existe même, le Global Award for Sustainable Architecture récompense cinq architectes par an pour leurs démarches innovantes en matière d’énergie, de matériaux ou de technologie. Au-delà des projets récompensés, de nombreux architectes travaillent en prenant en compte ces critères. C’est le cas par exemple à Mexico où une façade d’un hôpital est recouverte de dioxyde de titane qui neutralise les gaz d’échappement. À Paris, deux architectes, Anouk Legendre et Nicolas Desmazières souhaitent créer une biofaçade en « double vitrage remplie d’eau dans laquelle on a placé du plancton. Un aquarium vertical et plat en quelque sorte ». Les algues produites, en plus de capter le CO2, améliorent l’isolation du bâtiment l’hiver et peuvent rafraîchir le bâtiment l’été. De plus, une fois récoltées, elles pourraient même servir à fabriquer des aliments, des médicaments ou mêmes des cosmétiques.

Et si nous devons imaginer des bâtiments plus durables, leurs conceptions aussi évoluent. En effet, ces jeunes angevins imaginent qu’en 2030 nous pourrons construire des maisons grâce à des robots. C’est le cas du MainBot qui « sert à commander des robots innovants pour créer des nouveaux bâtiments qui aspireraient la pollution et fonctionneraient à l’énergie solaire ».

Les robots-maçons apparaissent d’ailleurs déjà puisque dès 2018 nous avions des échos de cette innovation. Citons par exemple « Hadrian » qui est développé sur un camion à moteur et inventé par Fast Brick Robotics. En 2018, il était donc capable de construire une maison de 180 mètres carrés avec trois chambres et deux salles de bains en seulement trois jours.

La question des nouvelles formes d’habitats avait déjà été évoquée lors des précédents ateliers avec l’Ilovole, le Cité-Arbol ou le CER.

Objectifs de développement durable concernés : “Industrie, innovation et infrastructures” (9), “Villes et communautés durables” (11), “Mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques” (13).

Égalisateur salarial :

Cette invention est le « best-seller » des ateliers « Imagine ton métier en 2030 ». Il s’agit d’une personne qui vérifie l’égalité des salaires en fonction d’une même tâche, d’un même temps de travail et de compétences égales. Il se déplace d’entreprise en entreprise sans prévenir de son arrivée et peut infliger des amendes.

Ce métier répond donc à une problématique importante de l’égalité entre les femmes et les hommes dont s’emparent de plus en plus les États, les entreprises et les associations. Au niveau de la loi, un bon nombre de disposition sont prises et c’est l’Islande qui fait figure de modèle. En effet, depuis le 1er janvier 2018, les entreprises islandaises doivent obtenir un certificat prouvant qu’elles respectent l’égalité entre les sexes. A terme, les entreprises n’ayant pas ce certificat, à renouveler tous les trois ans, pourront se voir infliger une amende maximum de 400 euros par jours. Au niveau associatif, en France, de nombreuses associations comme « Jamais sans Elles » ou « Les Glorieuses » accompagnent, interviennent dans les entreprises pour lutter contre ces inégalités. Ce sont d’ailleurs « Les Glorieuses » qui avaient lancé en 2018 le hashtag #6novembre15h35 pour signifier qu’avec les inégalités salariales, c’était comme si à partir de cette date « les femmes travaillent pour du beurre ».

Un bon nombre de métier similaires avaient été inventés dans les précédents ateliers comme « VeritySalaire », « Inspégalité », « Inspecteur égalité femme-homme », « Femome » ou « l’égalisateur de revenu ».

Objectifs de développement durable concernés : “Égalité entre les sexes” (5),“Inégalités réduites” (10).

Le robot soigneur et le robot infirmier :

Est-ce que les robots vont remplacer les travailleurs humains ? Probablement pas. Cependant, l’innovation technologique fait évoluer les métiers et les pratiques professionnelles. Ce sera probablement le cas pour la médecine. Et nos participants le soulignent bien avec ces deux inventions. Le robot soigneur serait programmé par des humain et installé dans des salles spécialisées. Son rôle serait devoir soigner et effectuer des opérations compliquées pour soigner des patients aux maladies bien spécifiques. Le robot infirmier quant à lui serait également disponible 24h/24 et permettrait une prise en charge des urgences dans toutes les situations possibles et imaginables.

D’ailleurs, depuis quelques années, nous voyons apparaître des solutions robotiques pour la chirurgie. Soulignons tout de même que ces robots ne remplacent pas les métiers habituels de médecin ou de chirurgien. Ils sont en effet contrôlés par des bras et des cerveaux humains car ils présentent de nombreux avantages (moins de tremblements, moins de risque d’erreurs, possibilité d’accéder à des zones difficiles plus facilement, etc.). Dans la chirurgie robotique nous trouvons donc deux sortes de robots : ceux qui ne sont pas autonomes et qui sont dirigés par un professionnel et ceux qui sont programmés pour des gestes très particuliers et très précis. L’exemple le plus connu est le robot De Vinci comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous.

Si les chirurgiens sont aidés par des robots, c’est de plus en plus le cas pour les soins infirmiers également. Le Japon et les États-Unis sont les deux pays les plus en avance sur ces innovations technologiques. Différents types de services peuvent être réalisés par ces automates : distribuer les médicaments et laver les cheveux comme Hospi (il mesure 1,30m et pèse 120kg !), porter un malade ou l’aider à se lever comme Robear, ou assister les infirmiers en donnant les seringues et en collectant les données médicales comme Terapio. En version domestique, à la maison donc, un petit robot français arrive sur le marché : il s’agit de Ubo qui recueille les données de santé grâce à un bracelet, donne les médicaments et prévient la famille des personnes suivies si nécessaire. Enfin, on trouve des projets de robots capable de faire les prises de sang et même d’assister les anesthésistes !

Sortons des hôpitaux pour évoquer les accidents de la vie quotidienne et les problèmes de santé qui peuvent causer la mort. De nombreuses vies pourraient être sauvées si les premiers secours étaient délivrés dans de bonnes conditions et dans les bons délais. C’est pourquoi les participants ont imaginé le métier de Dronasafe. Il s’agit de « quelqu’un qui commande un drone pour apporter le matériel et conseiller une personne qui donnerait les premiers secours ».

Une fois de plus, nous pouvons trouver un projet similaire, en Belgique et aux Pays-Bas cette fois. Il s’agit du « drone ambulance » ou « drone défibrillateur » inventés par Alec Momont, un étudiant belge en thèse d’ingénierie à l’Université de Delft. Son usage est assez simple : lorsqu’une victime d’un arrêt cardiaque est signalée, le drone pourra localiser l’appel et apporter automatiquement un défibrillateur ou des médicaments. De plus l’appareil est équipé d’une caméra et d’un micro pour permettre aux urgentistes de donner des conseils à la personne donnant les soins.

Objectif de développement durable concerné : Bonne santé et bien être” (3).

Le contrôleur du gaspillage :

Discuter des grands enjeux du 21ème siècle a logiquement amené certains groupes de jeunes à s’interroger sur notre alimentation, nos ressources naturelles et notre consommation. Et force est de constater qu’ils ne sont pas sourds au challenge du gaspillage, et pas uniquement alimentaire. C’est pour cette raison qu’ils estiment qu’il est nécessaire d’inventer le métier de Contrôleur du gaspillage. Son rôle serait de se déplacer d’entreprises en entreprises, de restaurants en restaurants afin de contrôler que les ressources soient bien utilisées et pas jetées sans raison.

Récemment, Amazon a attiré les regards sur cette question. Celle du gaspillage alimentaire est plus souvent évoquée puisque cela représente 10 millions de tonnes de nourriture par an tous secteurs confondus. Au sein de leurs domiciles, les français jettent en moyenne 20kg de déchets par an par personne.

C’est pourquoi, l’État, au travers de la loi du 11 février 2016, a voulu prendre des dispositions claires. Cela n’a pas manqué de susciter beaucoup de projets et de startups. C’est le cas par exemple de Too Good To Go qui propose aux consommateurs d’acheter des invendus à un commerçant de son quartier à prix réduits pour éviter qu’ils soient jetés.

Du côté des producteurs il y a Phénix qui aide les distributeurs, les industriels et les traiteurs à gérer leurs invendus et fait le lien avec les associations caritatives. De la même manière Love your waste propose aux restaurateurs de transformer leurs déchets naturels en énergie. Ils accompagnent la mise en place du tri des déchets, organisent leur collecte et les valorisent en biogaz ou en engrais.

Ainsi, puisque de nombreux projets existent, notamment sur la question alimentaire et que les autres types de gaspillages sont de plus en plus remarqués, il ne fait aucun doute que nous avons des possibilités de voir advenir ce métier. D’ailleurs, une idée similaire était apparue lors d’un précédent atelier : le recycliste !

Objectifs de développement durable concernés : “Faim zéro” (2), “Consommation et production responsables” (12), “Vie aquatique” (14), “Vie terrestre” (15).

Le robot nettoyeur d’océan :

Voici une autre star de nos ateliers « Imagine ton métier en 2030 ». Le problème de la pollution due aux déchets plastiques dans nos océans est largement médiatisé et ce n’est pas étonnant de la retrouver dans nos ateliers. Ici, donc, les jeunes participants ont souhaité inventer non pas un métier mais une technologie dont les professionnels de la gestion des espaces naturels et des océans pourraient se servir : le robot nettoyeur d’océan. Équipé de radar, d’outils de détection et de stockage, il serait capable de repérer et ramasser des déchets présents dans les océans pour les nettoyer et éviter qu’ils ne deviennent invivables.

À l’image de sa médiatisation, cet enjeu est adressé par de nombreuses solutions en France et dans le monde entier. À Marseille, l’ingénieur Alan d’Alfonso Peral a inventé le Recyclamer, un robot électrique capable de ramasser les déchets et les hydrocarbures (grâce à l’utilisation d’un « biotissu ») présents dans l’océan et dans les ports avant qu’ils ne coulent. « Wilson » est un autre projet d’envergure. Avec son tuyau flottant de 610 mètres de long en forme de U et son filet capable d’aller jusqu’à 3 mètres de profondeur, le robot de la fondation Ocean Cleanup vise à capturer les déchets qui se déplacent dans l’océan et récupéré par un « bateau vidangeur ». L’objectif : retirer 90% des déchets océaniques d’ici 2040.

De nombreux métiers ont été inventés dans la même optique lors de nos ateliers. Nous pouvons citer l’éboumer, le meryoteneur, le recyclaquatique, le marmoalgues ou encore l’aquadécheteur.

Objectif de développement durable concerné : “Vie aquatique” (14).

Le robot policier :

Et si RoboCop, après sa première apparition en 1987, devenait réel ? En tous cas c’est le souhait des participants. En effet, ils estiment que les forces de l’ordre auraient besoin de l’aide d’un robot policier qui « seraient plus fort que des policiers pour éviter qu’il y ait beaucoup de blessés et de morts lors des attaques ».

En 2017, la police de Dubaï était la première à concrétiser cette invention. En effet, elle a équipé ces équipes d’un robot « Reem ». Contrairement à RoboCop, son rôle n’est pas de traquer les délinquants mais plutôt d’assister ses « collègues » sur certaines tâches de proximité comme orienter les citoyens, recueillir les signalements ou recevoir le paiement des amendes. Mais il pourra aussi utiliser sa caméra et ses micros pour faire de la télésurveillance.

Objectif de développement concerné : “Paix, justice et institutions efficaces” (16).

Le professeur d’empathie :

Pour atteindre les 17 objectifs de développement durable, l’entraide et la solidarité sont indispensables. Et pour que ces attitudes soient adoptées dès le plus jeune âge, cette invention apparaît comme très importante. Le « professeur d’empathie » aurait pour mission de développer cette compétence dès l’école primaire à travers des exercices ciblés.

Ce n’est d’ailleurs pas illusoire puisqu’au Danemark, les enfants de 6 à 16 ans disposent d’une heure de cours d’empathie par semaine. L’objectif est d’inciter à la coopération plutôt qu’à la compétition. Pendant ces cours, les élèves n’apprennent pas seulement à lire et à écrire mais aussi à comprendre et écouter les émotions de leurs camarades à l’aide d’image et d’une logique descriptive des sentiments. Les élèves apprennent également à ne pas juger les émotions des autres.

Et vous, lecteurs, pensez-vous que cette idée pourrait être utile aux écoliers français ?

Objectifs de développement durable concernés : Bonne santé et bien être” (3), “Éducation de qualité” (4), “Égalité entre les sexes” (5), “Inégalités réduites” (10), “Villes et communautés durables” (11).

Ces métiers ne sont peut-être pas que des inventions. Inspirés du réel, puisés dans la volonté d’agir face aux enjeux du 21ème siècle, ces métiers sont peut-être les nôtres, les vôtres, les leurs. Et ce dès demain ! Peut-être seront-ils même bientôt dans la Galaxie des métiers de Pixis ! Et finalement, cela correspond à notre volonté : permettre à chaque jeune de trouver sa place et son rôle dans la 21ème siècle !

Et vous, quel sera votre métier en 2030 ? Si vous avez des idées, envoyez nous vos métiers imaginés 👉ici

Vous pouvez également nous dire en commentaire quels sont les métiers que vous préférez 😍

Et en attendant, nous vous attendons nombreux dans la Galaxie des métiers🚀

Pour découvrir en quoi consistent nos ateliers “Imagine ton métier en 2030” de façon plus détaillée, rendez-vous sur notre page descriptive : “Nos ateliers : Imagine ton métier en 2030”

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